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Oct 13, 2022

Lire les 40 contes- Class 8

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Lire les 40 contes- Class 8

Lire les 40 contes- Class 8 Les Trois boucs bourrus ‘THE THREE BILLY GOATS GRUFF’ IN FRENCH
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Les Trois boucs bourrus Part 01 Hide illustrations? (Save paper/ink when printing) Laissez-moi vous raconter l’histoire des trois boucs. Ils vivent dans les montagnes, dans un petit village de chèvres appelé Chèvreville. Les trois boucs sont frères mais ils sont très différents. Le plus jeune des frères est le plus petit, le second né est le plus gros et le plus vieux est le plus fort. Comme vous le savez probablement, les chèvres mangent de l’herbe tout le temps. De l’herbe au petit-déjeuner… De l’herbe au déjeuner… De l’herbe au dîner. (Parfois elles prennent du gâteau au chocolat pour le dessert, mais d’habitude elles mangent juste encore plus d’herbe). En été, il y a beaucoup d’herbe haute et verte à Chèvreville. Mais,  l’hiver venu, les montagnes sont couvertes d’une épaisse couche de neige. Il n’y a plus d’herbe nulle part. Cet hiver-là, devant ce problème, les trois boucs décident de descendre de la montagne pour trouver de l’herbe haute et verte dans le pré de l’autre côté de la ville. Ils traversent la route (cataclop, cataclop), ‍... le village (cataclop, cataclop), ‍... l’étang (splish-splash, splish-splash), ... jusqu’à ce qu’ils arrivent devant un grand pont. De l’autre côté du pont pousse l’herbe la plus haute et la plus verte que les boucs aient jamais vue. Ils tapent des pieds et remuent leurs queues. Miam, miam ! De l’herbe ! Mais le pont est très long et très étroit. Un seul bouc peut traverser à la fois. ‍« Hé les gars, laissez-moi y aller en premier,  dit le plus jeune bouc. Je suis le plus petit et le plus rapide. Je vais voir si le pont est sûr ! » « Si c’est ce que tu veux », disent les autres boucs, et le plus jeune des frères commence à traverser le pont.
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English Let me tell you the story of the three goats. They live in the mountains, in a small village of goats called Chèvreville (literally: Goattown). The three goats are brothers but they are very different. The youngest of the brothers is the smallest, the second born is the biggest and the oldest is the strongest. As you probably know, goats eat grass all the time. Grass for breakfast… Grass for lunch… Grass for dinner. (Sometimes they have chocolate cake for dessert, but usually they just eat more grass). In summer, there is a lot of tall, green grass in Chèvreville. But when winter comes, the mountains are covered with a thick layer of snow. There is no more grass anywhere. That winter, faced with this problem, the three goats decide to come down from the mountain to find tall, green grass in the meadow on the other side of town. They cross the road (clip-clop, clip-clop), ... the village (clip-clop, clip-clop), ... the pond (splish-splash, splish-splash), ...until they come to a big bridge.* Remark: Arrivent is the present subjunctive of arriver. We need to use it because we’ve said “jusqu’à ce que” (which means “until”), and this phrase needs us to use the subjunctive. ******************************** Check it: https://francais.lingolia.com/en/grammar/verbs/subjonctif https://www.frenchtoday.com/blog/french-verb-conjugation/understanding-french-subjunctive/ https://languageatlas.com/french-b2/how-to-form-the-subjunctive-in-french/ ********************************** On the other side of the bridge grows the tallest and greenest grass the goats have ever seen. They stamp their feet and wag their tails. Yum, yum! Grass ! But the bridge is very long and very narrow. Only one goat can cross at a time. ‍“Hey guys, let me go first,” said the younger goat. “I am the smallest and the fastest. I'll see if the bridge is safe!” "If that's what you want," say the other goats, and the youngest brother begins to cross the bridge .....

Le jeune pianiste

Comme s'il s'était tiré Dans la tête un accord, La tempe sur le clavier, Le jeune pianiste dort. En clé de fa, de sol, De sa tête coule du son, À chaque goutte au sol La note fait un rond. Des ondes s'y propagent En anneaux concentriques Qui s'effacent au rivage De la tache onirique. La tempe sur le clavier, Le jeune pianiste dort, Il a tant travaillé Que ses doigts bougent encore. Au bout des bras ballants Ils remuent silencieux : On acclame son talent Dans un hall prestigieux. Le rideau est tiré, Les vivats s'évaporent, La tempe sur le clavier Le jeune pianiste dort.

La belle et le bonhomme de neige

Tout blanc, tout bedonnant, tout rond, Le bonhomme vit, allongée Sur la glace blême, une fée, Une étoile de givre au front. Avec sa branche rabougrie, Il essaya de l'approcher, De l'emporter, de réchauffer La belle entièrement roidie. Sous la robe figée vivait Une âme si noble, si tendre Qu'il ne tarda pas à s'éprendre De la mignonne qui dormait. Cette bluette fut ardente ! La demoiselle s'éveilla, Le prétendant se liquéfia Sur la neige resplendissante. Un seul baiser avait suffi, Une langueur, une caresse, Pour faire fondre de tendresse, Le gentil amoureux transi. Un chapeau et une carotte Vinrent rouler dans le ruisseau. Ils suivirent le fil de l'eau, Pour se perdre dans une grotte. L'amante mourut un matin Dans la grande flaque de larmes. Au printemps, germèrent deux charmes

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